Le CDFDH et 5 organisation de défense des droits humains ainsi que des avocats, des juristes, des politologues, des journalistes et une diversité d’acteurs se prononcent sur le processus de changement constitutionnel au Togo
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Le Centre de Documentation et de Formation sur les Droits de l’Homme (CDFDH) est une organisation basée à Lomé (Togo) et spécialisée dans l’accompagnement et l’appui pour la professionnalisation du travail des défenseurs des droits de l’Homme.
Dans le cadre de la mise en œuvre de l’un de ses projets dénommé MATRIMONIAT2.0, le Centre de documentation et de formation sur les droits de l’Homme (CDFDH) recrute un consultant pour la production du recueil « ELLES ET LEURS ENGAGEMENTS ».
Dans le cadre de la mise en œuvre du projet Matrimoniat 2.0 financé par le PNUD, le Centre de documentation et de la formation sur les droits de l’Homme lance un appel d’offres restreints pour la Confection et impression de T-shirts.
Dans le cadre de la mise en œuvre du projet Matrimoniat 2.0 financé par le PNUD, le Centre de documentation et de la formation sur les droits de l’Homme lance un appel d’offres restreints pour la Confection d’obturateur webcam
Dans le cadre de la mise en œuvre du projet Matrimoniat 2.0 financé par le PNUD, le Centre de documentation et de la formation sur les droits de l’Homme lance un appel d’offres pour l’impression sur clé USB.
« Bring Back Our Freedom », une dynamique citoyenne lancée au cours d’une conférence publique ce mardi 17 septembre 2019 par les OSC pour plaider en faveur de la liberté de manifestation au Togo.
Si la passion et la motivation pour l’atteinte d’un objectif sont plus fortes que le génie, c’est le cas de Rahile MIJIYAWA, jeune femme défenseure des droits de l’Homme qui a fait des questions de droits de l’Homme son cheval de bataille au quotidien.
La responsabilité de la gente féminine dans la promotion et la défense des droits humains fait objet de discussions lors des grandes conférences et rencontres internationales. Même si le sujet n’est plus tabou, en dépit des efforts qu’elles fournissent pour le respect de leurs droits, elles sont appelées à plus s’engager et à s’affirmer.
La restriction de la liberté de manifestation inquiète bon nombre d’organisations de la société civile au Togo. La modification de la loi du 16 Mai 2011 dite « loi Bodjona » en date d’août dernier confirme cette volonté des institutions étatiques à ne plus autoriser les manifestations publiques. Un événement marquant à la suite duquel des voix se sont élevées pour dénoncer et condamner ce que d’aucuns qualifient de « recul démocratique ».