La nouvelle loi sur la liberté de réunion et de manifestation publique, adoptée et promulguée, ne cesse d’alimenter les débats au sein de l’opinion. Quelques jours après la communication des quatre rapporteurs spéciaux des Nations Unies, le Panel Watch livre son analyse de la situation.
Panel Watch
Le Panel Watch a tenu sa rencontre semestrielle ce 13 septembre 2019 au cabinet Me ATTOH – MENSAH. Ceci dans le but de sa redynamisation et de donner de nouvelles orientations au Panel.
En Mai 2018, le Centre de Documentation et de Formation sur les droits de l’Homme (CDFDH) a initié le Panel Watch. Composé de personnalités de la société civile reconnues pour leur indépendance, leur crédibilité et leur expérience, le Panel Watch se veut un cadre d’analyse, à l’aune des standards internationaux, de la situation sociopolitique en générale et celle relative aux droits de l’Homme en particulier au Togo.
Interpellés par le Panel Watch pour s’expliquer sur la révision de la constitution, notamment l’article 75 considéré par les organisations de défense des droits de l’homme comme une prime à l’impunité, les parlementaires togolais et d’autres acteurs socio politiques ont apporté leur réponse lors de la troisième session du « Face au panel ».
Reçu sur Nana Fm, une station privée de Lomé, le Directeur Exécutif du Centre de Documentation et de Formation sur les Droits de l’Homme (CDFDH), Godwin Etsè, se prononce sur le cadre légal de la liberté de manifestation au Togo et donne des pistes pour l’améliorer.
Souvent critiquées, les institutions de la République ont pourtant leur rôle à jouer dans la protection des droits de l’Homme.
Le vendredi 09 février 2018 à l’Hôtel Eda Oba de Lomé, s’est tenu une table ronde organisée par le CDFDH et le CCPR Centre en partenariat avec d’autres organisations non gouvernementales togolaises notamment la Commission Episcopale Justice et Paix (CEJP), la Clinique d’Expertise Juridique et Sociale (CEJUS), Alternative Leadership Group (ALG).